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Mardi (17/12/13)
The Boyz
--> A pris la poudre d'ex tempête.
Boum boum du moment
http://www.youtube.com/watch?v=gXf1BcTE-7s
Clap de fin.
D'abord j'ai été devastée.
 Comme un bateau fringant parti tout petit, sur une tempête déchainée, j'ai voué mon coeur et mes certitudes ebahies à l'espoir, ce con.
Ton silence est comme un couteau effilé qui me carresserait les organes de l'interieur. J'ai froid.
Tu comprends, partie seule dans ce brouillard d'émotions,
Je ne voulais plus entendre, ni plus voir, qui que ce soit, qui n'ait pas de rapport avec toi.
Les yeux et le coeur tourné vers l'intérieur, sur les images au fond de moi, qui exsangues, dansaient encore dans ma tête, l'odeur de ton mini vanilla flottant dans un de mes films, je retenais, je retenais tout à fleur de mémoire, tes yeux ta peau, ton rire, 
 la peine aiguisée au moindre de tes vieux je t'aime, je n'ai pas voulu y croire, parceque ça faisait trop cauchemar.
Qui a éteint cette putain de lumière au fond de mes yeux ?
Fonction robot oh oh oh oh !
ON, metro boulot dodo, allo j'ai peur, allo j'ai mal, allo tu me manques, allo dis quand reviens tu , allo je me sens seule, allo pourquoi t'es parti.
Puis, p'taiiin !
 je sais il y a eu ma colère. Elle n'est pas chouette, toute cette colère.
La seule chose que j'ai voulu ensuite c'est éteindre mon coeur,
ça fait mal un coeur qui souffre, ça gueule tout le temps au fond de toi,
ça te serre la peau,
il fait je suis là, je suis là! ton coeur, il bat plus fort, il te frappe de l'intérieur,,
et toi la seule chose que tu veux, tu veux crever,
oublier, arrêter de penser
tu te dis que ça ne s'arrêtera jamais cette souffrance, tu détestes les miroirs, la bouffe, la flotte tout ce qui te rappelle à la vie,
tu veux plus exister.
Simplement parceque toi t'es plus là.
Ecrit par Gobbo, à 16:46 dans la rubrique Red Destrier.
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Mardi (25/06/13)
La loi de l'Etalon
--> Parcequ'on devrait jamais sortir sans son ebook pratique : comment dresser ses amants

L'indécente

Le boum boum du moment :

http://www.youtube.com/watch?v=EjdJ60pHyqg

Le roi est mort, héhé vive le roi.

Il était une fois, fois fois, une belle au bois , bois bois, qui attendait son roi, roi roi, depuis des mois mois mois, et qui, en une seconde a décidé

de tout envoyer planer.

Marre des secrets et des silences. Marre de décortiquer les sites de rencontres, excuser ton absence, marre de tenter de comprendre les aléas de tes pensées obscures, tes raisons, ta dramatique aisance dans l'eloignement,  ta folie, marre de stagner dans un battement de cœur éternel, inrompu, marre de tenir à bouts de doigts le fameux lien si ténu,

 marre de rester collée à la glue de souvenirs lointains et, je crois que je l'ai inventé tout cela, tout cet amour qui sert à rien, c'est plus facile pour oublier.

Bonjour mon enfant quel est ton problème ?

Bonjour belle au bois, j'aime un homme marié.

ha merde quelle idée as tu là.

Sais tu ce qui t'attends mon enfant.

Tu vas atteeeeeeendre, atteeeeendre.

Attendre les sms, les coups de tel, les mails, attendre de son temps, attendre de son envie, dépendre de son désir, dépendre de sa vie de famille,

dépendre de son bon vouloir, tu vas ramper, ramper à ses pieds, ramper à l'amer de ses désirs non comblés, tu vas dé !

pendre,

 dé !

sespérer,

et l'indé,

cente que tu es,

va se conditionner à patienter.

Mais ça tue l'amour, ça sent l'amor, c'est un jeu aux pulsionnants coups à coups,  ce n'est pas passionnant, ce n'est pas de la mort, c'est du feu de paille, ça se marie bien, aux coups de soleil du vague à l'âme, t'auras des larmes, et ça !

ça ne se désarme...

pas. Mon Petit.

Jamais.

Et sur ton CV d'amour, en grosses lettres un jour,

tu pourras ajouter :

terrorisme d'homme mariés,

poseuse de bombe sexuelle.

Militante active du parti glennclosiste.

Ca va te ronger comme un ver blanc, le bleu du ciel balafré entre tes deux poumons, plus de souffle à mettre dans le soleil, ni dans le jour d'après ni dans les nuits, les sourires te feront peur, tu voudras juste attendre et patienter,

 le regard tourné vers la malle à secrets, en maudissant ton putain de téléphone.

Call baby, call baby love, it's under control...

Tout te souffrira.

La chaleur , la vie, les amis, l'amour des autres qui n'est pas le sien, la nuit sans lune, les petits chatons, les bébés les trucs mignons, p'tain !

 l'odeur de bouffe, le bruit des pouffes, les gens qui se plaignent,  et la haine, la fameuse haine écrasante, portée en intra vénus, comme un virus,  cachée aux autres comme une folie honteuse.

Ensuite vient le jour d'après. Tout se dissipe. Le réel. La révélation. C'est juste un  bourrrrricot, comme dirait maria qui mélange la francia et l'espagna.

 qui ne mérite pas tant d' hagard.

 Qui s'est laissé engloutir par la peur de ses propres élans, et du haut de sa nonchalante confiance dans le destin de petit comptoir, ne veut pas de  la fin jusque dans ses plus beaux hématomes de pensée. 

Qui a labouré de noir, les belles teintes des toiles de ses rêves.

 

Je me fous si j'ai eu mal parce qu' au moins je l'ai vécu.

Et maintenant, je peux repartir du bon pied, sans un regard pour le bas côté. Haha.

Ecrit par Gobbo, à 11:11 dans la rubrique Red Destrier.
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Lundi (17/12/12)
J+1 Ma vie sans toi


Badaboum du moment :

http://www.dailymotion.com/video/x7xy26_pourquoi-tu-restes-well-j_music


Le coupable, c'est ce chemin, tu sais ,

 qui ressemblait à tous les autres, à tous ceux qu'on a parcourus ensemble, et qui gravitent dans ma mémoire,

celui que j'ai foulé seule de ma nonchalante ouverture, la neige fondue d'esprit galopant, ce sont tes bras ouverts sur ma froideur impatiente, après l'enfer de ta voiture,  et cette volonté que tu as de dompter mon Ego au lasso,

peut être aussi cette stupide histoire de pépites qui n'a point de mérite, si ce n'est d'avoir gâché le plus beau de nos songes,

je rêvais de tes bras, droguée à ton odeur, j'aurai voulu pourvoir naître collée contre toi, j'aurai voulu n'y voir aucune fin, compter les années passées sur ton visage,

comme on lit la souffrance dans les trous des écorces, creuser d'autres sentiers, ta jeunesse dans la mienne, découvrir des trésors, aux infimes pointes de nos corps, j'aurai voulu que tu m'aimes à esperer y croire,

j'aurai voulu que tu luttes contre les monstres du réel, que tu guerisses ma peau des blessures d'antan, mon seigneur des oiseaux, sombres vaisseaux de tristesse,

au cresson du violoncelle, j'accorderai ton nom, la chanson de mon coeur, et la mort de ma passion.

Bonne route mon amour.

Juste à moi.

Ecrit par giantjack, à 21:23 dans la rubrique Red Destrier.
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Mercredi (24/10/12)
Ils vont peut être enfin le tirer ce putain de rideau ?
--> Parceque je vais pas sourire longtemps.

FEELING GOOOOOD !

mais siiii mais siiiii

Boum boum du moment, faut ça nan ?

http://www.youtube.com/watch?v=CmwRQqJsegw

Première chose qu'on apprend en soins palliatifs.

Aider les mourants à lâcher prise.

Faut que j'applique.

¤

Maintenant je me fais l'amour toute seule et c'est mieux, au moins si je m'endors après, je me fais pas la gueule.

Elle est là toute ma passion, là, regarde !

 Imputrescible, déclarée, à la lumière des lampadaires, elle est restée collée aux pierres,

chaque doigt, l'empreinte, mon corps douloureux imprimé dans le mur, t'as des gens qui ne savent pas aimer,

ils ont un coeur qui leur sert à rien, qui bat pour faire mourir la machine, chaque jour un jour de plus, mais dès que ça s'emballe, et que ça decolle des rails, ils flippent, alors qu'au final, ptain c'est ça le sentiment de vie.

 Louper les virages.

Cette cachette entre nous, un rendez vous obscur, un moment où je t'aimais encore, où je croyais à tout, et depuis je me promène seule, parceque y a des gens que tu apprends à aimer qui ne savent pas aimer.

Dans les bois, les ruelles, je mendie l'écuelle, ma gamelle,

ma sale gueule de coco haine fatiguée,

j'ai froid, j'ai faim, je manque de sommeil, les frissons m'ont quitté, les papillons sont calcinés dans ma bôite à muse  migraineuse, et robotée,le  hic,

 c'est vide, plus d'efforts, mais pas de remord, rabotons, l'écorce du cervelet,

un souvenir, c'est un détail qui ne tue point mais rend plus fort,

juste oublier, ne pas se retourner, ne pas dépoussiérer les détails collés dans ma maison hantée, se dire que rien n'a existé puisque rien n'a vécu, formater , balayer. 

le soleil n'est pas plus beau quand il se lève, et la brume me fait peur maintenant, parcequ'il me reste soixante ans d'Eos.

Mais ça va le faire, t'inquiète, je suis une grande fée.

Si on avait eu une fille, on l'aurait appelée Zoé.

Les miettes de mon organe aux quatre coins de l'hémisphère, j'ai la boule amère, le sexe en cendres, la folie dans mes espaces que la magie transcende, j'ai toqué au coup d'épée du mauvais prince, il s'agissait d' un crapaud boeuf, prompt à agir, fin à reculer, illusionniste de mes méandres...Pas magicien,

et c'est dommage, je me suis trompée sur son potentiel de lâcher prise.

Et, le temps d'un morceau, quand mon esprit s'égare encore , à lêcher la mauvaise porte, à s'enrouler sur ton corps en détail comme une chatte sur un autre, carressante de chaque pore, transpirant l'amour, l'amour et le désir, cela n'avait rien de commun, c'est un trésor perdu, pour lequel il n'y a pas de carte.

Je crois que je t'ai beaucoup aimé, le temps d'une histoire entre nous.

Mais je finis toujours par me laisser à aimer les gens qui ne savent pas aimer et je finis toujours par me lasser de m'être laissée aller à aimer les gens qui ne veulent pas aimer.

Ci git Loli twenty one (mars 2011/octobre 2012)

Le puits n'était pourtant pas bien profond, cette fois.

Ecrit par giantjack, à 11:17 dans la rubrique Red Destrier.
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Mercredi (22/08/12)
Le plumage de la princesse à plumes
--> et autres contes râpés desenchantés.

Petite kasdedi à celui qui a piraté mon coeur

 (et mon corps en profondeur) hein aussi !

http://www.youtube.com/watch?v=OnIYiteFWOs

Princesse à plumes, coeur en papier, mes oiseaux noirs se sont barrés, envolés, dans l'horizon de tes silences, le couteau de ton absence, sale braconnier.

Gitan des routes , manouche du coeur, ton amour fait le boomerang pendant que le mien prend l'ascenseur,

 je suis pas,

à toi, je suis pas,

un mouchoir qu'on ressort tous les 36, du mois,

en écoutant du anaïs, mon coeur,

ton amour , à deux balles,

C'est l'éjection sentimentale, mais que  fais tu ?

Mes  déjections sont  lacrymales, ton érection presque animale, ça me tue

ton goût me colle encore,

 encore,

 à la peau,

je t'en veux, je t'aime, je t'aime plus, je te déteste, puis je t'aime encore, c'est bien plus fort parceque que tu ne quittes pas ma tête.

J'ai pas compris ce qui t'as pris,

 passer de notre folie au grand déni,

je suis rien, pas de sens pas de contours, une princesse à plumes aux ailes pourries enfermée dans ta tour à double tour,

je t'en veux, vautour, car tu laboures mon coeur de tes allers retours.

T'as effacé d'un laps de temps vacaciones et familias,

 L' éclaircie, chafouin, jardin et petits tapas,

biberons, ron ron petit patapon,

L'officielle, ta plus belle,

la poubelle

à sortir,

 les corvées conjugales,

l' compte en banque à nourrir, 

 ont eu raison de nos souvenirs,  cannibale.

 T'as oublié quand on rampait dans la forêt,

 l'un sur l'autre,

 et l'autre sur l'un,

 parceque ce monde était le nôtre, et que là bas, nos égarements ne faisaient qu'un.

 Ce temps à nous, sans tabou, j'étais ta fée, ton bébé,

ta petite desirée,

 Nos baisers qui rendraient fous ,au foyer,

même un papi,

 le plus tapi des hommes

et au fond de mes alvéoles,

j'ai l'hurlement qui s'époumone.

Comment veux tu que je te pardonne ?

Après tout ces instants,

 passés à réecrire,

 la définition de la passion

penses tu que j'ai vu pire,

au point de perdre la raison ?

Putain, tu fais chier !

Ecrit par giantjack, à 16:16 dans la rubrique Red Destrier.
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Mercredi (18/07/12)
Fais moi l'amour dans le Noir
--> Au moins une fois entre nous, laissons entrer la nuit.

Tu trouves pas ça cruel parfois,

les petits A,

les grands a,

 tous ces haaaa, 

lala,  dirladada

 les options de base, ça blase, ta peau faite de flammes, ça m'entame,

t'en vouloir ?

mi corazon,

je peux pas empêcher mon coeur,

pas d'orgueil en amour,

 je m'embrase seule sur nos cimetières de foin,

 la tête dans l'arbre des nuages, le chagrin

je note les griffes, les bleus,

 à me rappeler ton goût, ton odeur,

les reflets dans tes cheveux

quand s'envolent les petites heures,

tes lèvres, sur ma nuque,

 ta main sur la mienne,

 tes baisers,

dévore ce désir dans tes yeux, à te mordre, je suis chiante,

bandante, j'aime quand tu murmures pendant l'amour,

mi amor

mes épines sont des roses à carapace pleines de ruses,

compter le destin, ça pique, craindre la fin,

lutter, la mélanco galopante, trouver des joies

dans tes absences,

apprivoiser ce qui n'a aucun sens.

Ecrit par giantjack, à 20:18 dans la rubrique Red Destrier.
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Lundi (09/07/12)
Les histoires d'amour finissent mal..
--> Mais ce n'est pas toujours de ma faute.

Le (Tchiki) BoumBoum

du moment...

http://www.youtube.com/watch?v=J3nO2vbJID0

Chambre 23 ,

 Aile bleue comme le ciel,  il y a une vieille fille toute douce aux yeux choco-caramel comme toi.

La même nuance. Sûrement qu'elle était un ange aussi dans une vie antérieure.

Je m'intoxique à ses prunelles, en plongeant mon regard dans le sien parceque tu y es un peu, parfois.

Le matin , à 10 heures, quand j'entre, elle me sourit, elle claque des doigts:

 Ayeeen ! zik ! zik ! hababa !

 Dans son vieux poste il y a de la salsa.

Elle veut que je danse.

Ces derniers mois, je dansais gaiement, pour toi, pour moi, je fermais les yeux, je flamencoche, et  elle riait, riait,

je la faisais mourir, tournoyer,  les mains en l'air,

 torero, tortillant du cul en blouse simili poly, bolero coton, un CD rouge, le soleil,

viva espagna !

J'en ai rêvé entre toi et moi. pas toi ?

Le soleil, la terrasse bordée de vignes, un restaurant à  balcons en pierre blanche,  l'eau tout en bas,

de la rumba dans les rues, des couleurs,  et de la liberté.

Beaucoup de  liberté.

Sa zombie de voisine, égrenant mes pas un peu vaseux, au son de ses jt'emmmmmmerde !

(nan sérieux elle fait peur)

 parceque toute cette nuance dans ses beaux yeux, tu sais, c'est  comme si tu avais été un peu là , à mes côtés, en train de rire toi aussi,

 boumtchikiboum sur ta cuisse,

je me sentais moins seule, devant tous ces malades,

 ce boulot qui m'atteint au coeur, qui m'arrache les tripes, tous les jours, ça, cet acharnement à conserver des lqoues en vie,

des zombies,

j'avais du beau dans ma vie,  tes SMS, j'avais le sourire, le téléphone à l'huile, ton rire, si ... si ... ton rire,

ton accent merdique, les journées soudain plus belles avec un appel,

 un air de musique sur mon répondeur...

mes souvenirs sont des fleurs.

Tout ça c'était gérable, parceque t'existais, t'étais bien là au chaud au creux de moi, t'avais ta place,

t'etais mon roi, mon as de trèfle,

et je ris encore si tu savais, je fais rire tout le monde, parceque je ne sais faire que ça, je  peux  pas pleurer devant les autres, je n'ai personne pour m'agripper...

si je tombe.

 S'ils savaient tous à quel point tu me manques.

Je peux plus toucher à ma guitare.

 Elle aussi , developpe des talents lacrymatoires.

 J'ai essayé hier, deux trois cordes, un essai de flamenco sec, comme tu m'as appris, entre deux comptines,

boum tchikiboum eeeeet, paf le chien !,

les yeux qui coulent, c'est arrivé, les larmes, comme un deuil en silence, je pourrai plus jamais entendre de la rumba sans penser à toi. Je pourrais plus jamais entendre la rumba tout court.

Alors moi, depuis,  je fais comme si tu n'existais pas.

T'existe pas !

Le téléphone sonne encore, ma boite mail se remplit toujours, mais je n'ai pas envie de parler aux gens. Les entendre parler d'eux, de leurs amours, leurs petits bonheurs, je meurs,

je les déteste tous de continuer leurs petites vies tranquilles,

je voudrais des bras et un coeur pour m'allonger, juste pouvoir leur parler de toi et leur dire à quel point c'était doux, et bon, et merveilleux de t'avoir contre moi.

 Je voudrais sentir ta tête s'imprégner dans mes genoux à en avoir des bleus.

 La chaleur de ton cou. Ta force, en moi.

Et ton regard quand tu m'embrasses.

Mais je peux pas. j'enterre mes souvenirs en cachette, t'es là, partout, au fond de ma tête, comme si tu y avais élu domicile, tu payes pas ton loyer, sale gitan,

 même quand je fume une cigarette, mes yeux s'evadent au loin, il y a des plaines avec toi,  qui sont devenues des plaies, mon gitan.

Je dois vider ma clé USB, pendre la Loli au gré de mon chagrin,

et l'enterrer au fond de mon jardin, je pourrais plus jamais toucher à ma guitare.

 Je te l'ai déjà dit, non , Toikimeli ?

J'ai ton odeur partout sur moi au boulot dès le matin,  je travaille avec des bleus,

 j'ai la haine, ça rime avec Ayen,  j'ai envie de frapper les morts, je les mords, 

Si tu savais comme j'ai pas tort...

 j'ai plus envie de danser, plus envie de parler, plus envie de manger plus envie de rien, juste attendre que ça se tasse et que ça fasse moins mal. j'arpente les couloirs , la blanche coco en perdition.

MAIS.

Pour moi, vraiment.

L'essentiel, c'est que ton bateau n'ait pas coulé.

Elle a une putain de chance.

Tu crois que  dans un mois j'aurais plus mal ?

Putain !

Ecrit par giantjack, à 16:45 dans la rubrique Red Destrier.
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Lundi (14/05/12)
Et maintenant je te déteste, à jamais.
--> Fous le camp de ma life.

!!! SIX LANCES !!!

Je te déteste, toi , psychopathe des sentiments.

 Du poignard de tes silences, mon siège ejectable de ta vie, comme si je n'étais plus réduite qu'à ce rien,

ton manque de respect  m'a egorgé toute ma passion.

 Je savais les minimoys horairophages, succions paiennes,  je les savais pas insectivores.

Je peux tout prendre en pleine poire, la mort de notre histoire les trains comme les belles gueules.

Mais pas toi. T'avais pas pas le droit, après m'avoir demandé de te faire confiance.

Le lent poison de tes mensonges s'est infiltré là où tu campais sous ma peau.

Je sors d'un long coma d'hiver, c'est l'enfer, ça fait tellement longtemps depuis jeudi, deux mots d'amour peut être trois puis plus rien, juste un blocage, anal une fissure date de naissance, tu joues au roi, t'es peut être mort animal, tu t'en vas comme un prince,  bouffé par ton petit roi atmospher - nal.

Mais t'inquiiiiiète je vais bien.

je m'octroie juste le droit de te detester très fort.

Toi et toutes tes promesses, ta sin-cé-ri-té, Kaa kaa boudin,  fais moi cooooonfiance

Je vis encore, je suis pas lâche, je me fâche, au boulot, contre les tâches, contre les vaches,

 macache, que si je te laisse de nouveau encore rentrer dans ma vie, ma chatte et mon coeur,

c'est moi qu'on devra pendre.

Les sentiments sont comme des pantins articulés par des cordons violoncelle, ils mixent le doux son d'une musique de crécelle, c'est doux c'est intense, ça s'étoffe dans les aigus, ça pleure, ça hurle, ça canicule, ça s'éteint, ça s'absente et ça meurt. Et j'en suis là. J'ai pas besoin de toi pour remplir ma vie.

Oublie mon nom, mon odeur, mon numéro, le facteur ,

 et le radiateur ou tu m'as attachée depuis jeudi dernier,   avec tout ton amour collant de casalover en manque,

je préfère crever de faim que de te revoir.

Ecrit par giantjack, à 22:07 dans la rubrique Red Destrier.
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Lundi (07/05/12)
Quand la Terre tourne sans toi
--> je cherche le panneau Excite

Et le boum boum du moment que j'écoute en pensant à toi...

http://www.youtube.com/watch?v=OmLNs6zQIHo

Un premier café tremblotant, uen ballade au bord de l'eau, ta main sur mon front, tes lèvres, pour la première fois sur ma bouche, le rose fushia, ta caisse rouge, une visite au chateau, un pacte sous la pluie, les vaches, les vieux, la buée dans nos visages, mister GPS,

le bitume, les cascades, l'amour au fond des bois,

c'est toi qui bave,

tu sais quoi, tu me rends fou,

t'es mon bébé, ma fée, mon coeur,

t'es dans mon coeur,

mon coeur, ton amour ?

je te laisserai pas, jamais,

de la mécanique, au lit panique, posé sur ton epaule,

les chambres d'hôtels panoramiques,

les balcons téléphone,

cigarillosses, cigarettes russes

l'amour en pointillés, les bains brûlants, nos dialogues, de la zik russe,

ta main, mes petites mains, ta peau, ton grand corps,

ma douceur, les heures au téléphone, les sms volés, des émails champs de bataille, tralala tra- hison, je te hais, tes silences, mes absences, mes colères, tes rires, souvent mes larmes, le manque, nos baisers, mes mensonges, tes bras, elle, toi.

On tourne une page.

Et tu m'as dit je t'aime.

Fab a dit meurs :

Heureux soit l'élu , qu'il le sache, et qu'il aille se pendre s'il laisse cet amour sauvage passer et s'effacer...

Ne nous laisse pas nous envoler....

Ecrit par giantjack, à 21:51 dans la rubrique Red Destrier.
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Mardi (24/04/12)
Dans tes bras, même les coupe-gorges ressemblent au Ritz.

Je marche dans nos pas, parceque je ne sais faire que ça.

 

Il y a la souffrance avortée d'un monde dans lequel tu n'existes plus, dans lequel tu ne fais plus partie de moi, dans lequel je suis seule comme avant et je voudrai parfois revenir dans nos pas.

Je crois que tu n'as pas compris.

Le sentiment d'aimer, c'est parfois plus que des mots qui vont et qui viennent, un soupir dans un cou au bon moment, une grande main sur la mienne, et tout un volcan de certitudes...

Et j'ai mal.

Comme si, en silence, tu avais quitté ma planète. Je suis seule sur ce banc, à attendre que les jours me lâchent.

Autour de moi, je n'entends plus les rires.

 Le soleil est un astre qui ne brille plus assez fort, tout semble tourner encore, mais pour qui ?

Je voudrais monter au point le plus haut et hurler, hurler à n'en plus finir comme une bête blessée qui s'éteint, je crève en silence, à la brûlure de ton absence.

 Je suis terrifiée.

Ecrit par giantjack, à 10:58 dans la rubrique Red Destrier.
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