Un souvenir, c'est traître, ça rit et ça mord, ça t'attaque quand tu dors, ça profite de ton sommeil, c'est lourd à porter, c'est dur comme un secret
tranchant
comme un couperet,
ça te fait rougir ou crever de désir.
Un souvenir c'est une image, une odeur, chargée d'humeurs, des enfantillages, des rumeurs,
des mensonges.
Dans ma tête, hou hou , dans ma tête,
alouette,
y a toute une planète,
qui jamais ne s'arrête,
C'est mélangé-coloré comme une salade de fruits, avec des tutti frais et d'autres tous pourris, c'est pas vers-glauque, ça ressemble à la peinture de Mr Glloq.
Oué, un souvenir c'est traître, tu le ressors de sa boîte comme un trésor, tu en détords les méandres, (si je veux !)
du tréfonds de ta mémoire, à dénouer le fil du désir, de l'histoire, le vrai du faux, le pensé, l'imaginaire, le vécu,
le à-vivre, le try again, aussi c'est un souvenir en devenir.
Et finalement tu ne sais plus où tu en es :
Qui tu es es-qui tu vois-ce que tu vis-d'où tu viens-qui t'aime encore.
qui donc t'aime encore ?
Qui ?
Qui donc m'aime moi encore ?
Mais vraiment m'aimer, penser à moi, me désirer, demander ce que je fais, à l'instant T, ce que j'aime boire ou manger, si je vais bien, si je ris, si je pleure, ou si je suis de bonne humeur.
J'ai plein de sentiers là dans mon coeur, de belles histoires, des usufruits, des usuriers, des prétendants, des princes charmants, laissés partout dans les coins de ma tête, attachés enchainés, aux barreaux de mon cerveau.
J'ai des nouvelles j'ai pas de nouvelles, je suis heureuse, ou malheureuse selon les jours selon les heures selon mes mails ou qui m'appelle.
Ou pas.
Des souvenirs, ça fait pas battre mon coeur. J'en ai pas. hiiin hiiin hiiin . Auriez vous oublié ce petit détail qui a une importante cruuuuciale dans la compréhension de mon flot tortumerdique ?
C'est une chierie littéraire, c'est païen, paillin, parien, pas rien, je n'y peux. Rien.
Ca nourrit pas mon corps.
Déjà elle s'estompe son odeur, je les garde pas longtemps les odeurs.
Je ne peux plus dessiner son visage du contour de mes lèvres, je les garde pas les visages.
Flashs exigus, des aurevoirs, des intonations de voix, parfois juste ton regard, parfois même pas. Plus.
juste un peu de ta voix, juste un peu de toiiiii.
Et je dois faire quoi ?
je n'ai aucun droit.
Je suis une porte exit, entre deux mondes, un laps, un laps, je suis juste un laps
Parfois j'ai mal. Mal. Je ne sais pas comment ça vient, c'est là c'est moche c'est visqueux, ça arrive en rampant, même quand je me réveille, heureuse, avant le soleil,
il est nul à la course le soleil,
je me réveille avec des petilles dans les yeux c'est beau c'est mignon, je m'aime et puis ça arrive en rampant, dou-ce-ment,
cette fleur du mal, pleine de pétales,
melancolia , elle rampe, elle tisse sa liane autour de ma conscience, et je finis par me sentir seule.
Parti alors le soleil, l'odeur du foin frais, de la rosée,
des nappes de brouillard qui font l'amour aux champs dès l'aube,
Parti tout ça, le souvenir, l'espoir, le désir,
partis, ces jolis instants qui pourraient faire mon bonheur, si mon âme ne s'était pas déjà envolée ailleurs.
Ou Sam Enerv
BOUM BOUM du moment
FAITH The Cure
http://www.youtube.com/watch?v=jFA2siPXpjY
L'aube. Est une complice à délices. Un jour qui accouche en toute beauté, sans cri, presque à tâtons, et qui apporte son lot de papillons.
Yo fidèle lecteur, voyeur de mon côté trouble souvent pathétique, je me suis morfondue longtemps sur le souvenir d'une langue, et quelle langue,
j'ai aimé l'enfer, je le jure de tout mon corps et le diable qui allait avec, pauvre diable, autopuni lui même par son lot de dictons ( le diable est tout aussi faible que sa propre chair, en fait.)
Et je reviens vers toi, suspendue à demain,
deux mains tendues dans l'obscurité d'une chambre d'hôpital, deux mains d'homme caressant un corps moche, pourri, vieilli, et douloureux, gémissant, et c'est la première chose de toi que j'ai vu de lui,
diablo,
maitre Sam,
tes deux mains si grandes, noueuses, des mains d'homme palpant et tirant un muscle défraichi, puis ton dos, large, prêt à exploser ta blouse trop petite,
(t'avais dû piquer la mienne, dans la pénombre du jour naissant, à un casier près, hein fetichiste)
l'embauche enivrante du poulailler à flinguer, une par une,
les preuves à faire, tant de visages à apprendre, à décoder,
tes longues jambes perchées, écartées, sur tes cuisses bien musclées,
puis tes cheveux noirs, drus , jouant avec la lumière , pas un poil en bataille, ton cou de taureau, encore un ! Putain !
olé olé ,
charnier pour des grains de beauté explosifs, et enfin ton regard, sombre, amusé, devant ma surprise éloquente.
... ?
Kiss ? est ce ?
Oh la vieille tu le lâches mon futur étalon ?
Arrivé comme un fantôme dans le service pas un poil annoncé d'ailleurs juste une rumeur d'un trentenaire beau gosse qui nait à ses heures,
amateur de vieilles peaux,
parcourant les couloirs, des gloussements des collègues dindes aux quatre coins du service, et juste un prénom monsieur Hourra,
une esquisse sur tes lèvres, parce que tes jolies dents sont blanches même si elles ne sont pas en place, j'aime ce trou du bonheur,
et je me surprends, dans le coin de la porte, surprise comme une voleuse, rougissante comme une môme, à essayer de deviner ton cul dans ce pantalon de guerrier informe,
à envisager un instant, un quart de seconde la couleur de tes tétons, que je préfère marrons,
la pilosité sous ta blouse, tirer sur tes pressions, envisager la bosse mais pas celle des maths, la douceur de ta peau, sous la douceur du tissu, n'osant ni bouger ni approcher, novice de nouveau, dans l'ombre de cet inconnu .
Coucou, S, je suis le nouveau kiné !
- heu .... ravie....
Balbutiante expression qui voulait dire, en néon rouge clignotant sur mon front, ATTIRANCE repérée !
ATTIRANCE repérée !
Cte tehon...
Et envier la mamie, qui se trémousse sous ta peau, un pas en arrière puis un autre, le cœur brûlant, les joues groggy, chaloupant dans les couloirs du bateau qui gigue, j'ai mal au cœur, envie de vomir, tout ce désir,
un appel du puits noir sans fond que j'avais rebouché à coup de pelle, depuis red destrier, ouais toi, là ,
tout ce manque, ce deuil sans fin et omniprésent, ce manque absolu,
cette attirance écrasante.
Alerte les poulettes,
c'est l'ouverture de la chasse.
L'indécente
Le boum boum du moment :
http://www.youtube.com/watch?v=EjdJ60pHyqg
Le roi est mort, héhé vive le roi.
Il était une fois, fois fois, une belle au bois , bois bois, qui attendait son roi, roi roi, depuis des mois mois mois, et qui, en une seconde a décidé
de tout envoyer planer.
Marre des secrets et des silences. Marre de décortiquer les sites de rencontres, excuser ton absence, marre de tenter de comprendre les aléas de tes pensées obscures, tes raisons, ta dramatique aisance dans l'eloignement, ta folie, marre de stagner dans un battement de cœur éternel, inrompu, marre de tenir à bouts de doigts le fameux lien si ténu,
marre de rester collée à la glue de souvenirs lointains et, je crois que je l'ai inventé tout cela, tout cet amour qui sert à rien, c'est plus facile pour oublier.
Bonjour mon enfant quel est ton problème ?
Bonjour belle au bois, j'aime un homme marié.
ha merde quelle idée as tu là.
Sais tu ce qui t'attends mon enfant.
Tu vas atteeeeeeendre, atteeeeendre.
Attendre les sms, les coups de tel, les mails, attendre de son temps, attendre de son envie, dépendre de son désir, dépendre de sa vie de famille,
dépendre de son bon vouloir, tu vas ramper, ramper à ses pieds, ramper à l'amer de ses désirs non comblés, tu vas dé !
pendre,
dé !
sespérer,
et l'indé,
cente que tu es,
va se conditionner à patienter.
Mais ça tue l'amour, ça sent l'amor, c'est un jeu aux pulsionnants coups à coups, ce n'est pas passionnant, ce n'est pas de la mort, c'est du feu de paille, ça se marie bien, aux coups de soleil du vague à l'âme, t'auras des larmes, et ça !
ça ne se désarme...
pas. Mon Petit.
Jamais.
Et sur ton CV d'amour, en grosses lettres un jour,
tu pourras ajouter :
terrorisme d'homme mariés,
poseuse de bombe sexuelle.
Militante active du parti glennclosiste.
Ca va te ronger comme un ver blanc, le bleu du ciel balafré entre tes deux poumons, plus de souffle à mettre dans le soleil, ni dans le jour d'après ni dans les nuits, les sourires te feront peur, tu voudras juste attendre et patienter,
le regard tourné vers la malle à secrets, en maudissant ton putain de téléphone.
Call baby, call baby love, it's under control...
Tout te souffrira.
La chaleur , la vie, les amis, l'amour des autres qui n'est pas le sien, la nuit sans lune, les petits chatons, les bébés les trucs mignons, p'tain !
l'odeur de bouffe, le bruit des pouffes, les gens qui se plaignent, et la haine, la fameuse haine écrasante, portée en intra vénus, comme un virus, cachée aux autres comme une folie honteuse.
Ensuite vient le jour d'après. Tout se dissipe. Le réel. La révélation. C'est juste un bourrrrricot, comme dirait maria qui mélange la francia et l'espagna.
qui ne mérite pas tant d' hagard.
Qui s'est laissé engloutir par la peur de ses propres élans, et du haut de sa nonchalante confiance dans le destin de petit comptoir, ne veut pas de la fin jusque dans ses plus beaux hématomes de pensée.
Qui a labouré de noir, les belles teintes des toiles de ses rêves.
Je me fous si j'ai eu mal parce qu' au moins je l'ai vécu.
Et maintenant, je peux repartir du bon pied, sans un regard pour le bas côté. Haha.
It’s a beautiful night,
We’re looking for something dumb to do.
Hey baby,
I think I wanna marry you.
no no no no !
http://www.youtube.com/watch?v=OMr9zCvtOfY
le jour se lève parfois accompagné de certitudes, de petits sacs amers bien lourds gluants des restes de plaies à souvenirs, que la lumière fut, et la lumière fut,
le flou flonflon du fou filant à travers le filet de la passion, tout se réveille, se dégonce grince et se met en marche, comme un monstre de métal vetu de sa plaque tectonique, il y a de la lumière, au premier étage, dans le grenier ça remue aussi,
collent les toiles des derniers baisers, les araignées échappées de ma moelle, les squelettes sont lancés. Placard espoir, dernier arrêt.
Un jour tu te lèves, la haine du prochain chevilllée au corps, la carapace absurde capillotractée, tu refuses, tu blindes , tu rejettes, tu t'eteins, t'atteins le fond du lac, dans sa noirceur de vase, tu t'étreins et tu flottes, engoncé dans des rêves de déja vu, là où l'espoir est mort et a quitté le navire avant les enfants,
Mon âme s'est perdue dans un labyrinthe de jade, elle court elle court la furette, troublée comme une moufette, laissant des traces de ses pas ensanglantés dans la neige de mes neurones et quand l'eau monte , elle monte elle monte.
J'ai honte.
J'ai honte, stupide folle d'avoir perdu tout ce temps,
oui perdue, coincée au milieu des squelettes de placard, des sentiments menteurs, des émotions de carnaval, perdue à vouloir ouvrir avec mes ongles la porte lourde de ton organe tricheur.
Alors s'il suffisait de faire un bon feu et de bouffer des bonbons, de boire un verre de vin entourée d'âmes jumelles, de faire le bien, pour me sentir mieux, s'il suffisait d"epurer mon coeur au glaçon des trainées engelures,
s'il suffisait d'oublier ton nom, s'il suffisait d'en aimer un autre,
s'il suffisait de ne plus aimer les hommes...
Au chemin tout tracé d'une vie tout seul, où le bonheur est à portée mais pourtant loin d'etre cible , quand à chaque plat il manque un ingrédient, quand on passe très peu à côté, et quand le renoncement devient alors plus excitant que la poursuite...y a plus qu'à niquer avec la flèche. Ouep voilà.
Badaboum du moment :
http://www.dailymotion.com/video/x7xy26_pourquoi-tu-restes-well-j_music
Le coupable, c'est ce chemin, tu sais ,
qui ressemblait à tous les autres, à tous ceux qu'on a parcourus ensemble, et qui gravitent dans ma mémoire,
celui que j'ai foulé seule de ma nonchalante ouverture, la neige fondue d'esprit galopant, ce sont tes bras ouverts sur ma froideur impatiente, après l'enfer de ta voiture, et cette volonté que tu as de dompter mon Ego au lasso,
peut être aussi cette stupide histoire de pépites qui n'a point de mérite, si ce n'est d'avoir gâché le plus beau de nos songes,
je rêvais de tes bras, droguée à ton odeur, j'aurai voulu pourvoir naître collée contre toi, j'aurai voulu n'y voir aucune fin, compter les années passées sur ton visage,
comme on lit la souffrance dans les trous des écorces, creuser d'autres sentiers, ta jeunesse dans la mienne, découvrir des trésors, aux infimes pointes de nos corps, j'aurai voulu que tu m'aimes à esperer y croire,
j'aurai voulu que tu luttes contre les monstres du réel, que tu guerisses ma peau des blessures d'antan, mon seigneur des oiseaux, sombres vaisseaux de tristesse,
au cresson du violoncelle, j'accorderai ton nom, la chanson de mon coeur, et la mort de ma passion.
Bonne route mon amour.
Juste à moi.
2012 CHAMBOOOOOORD
par dessus boooord
http://www.youtube.com/watch?v=as1dr0BIgpw
pavillon psy (kiboum ?)
Autisme
Pshiiiit chose infantile vieille hissante.
Tout ce brouillard.
Les cris, ils rampent dans les allées entre les chênes, et les buissons, la brume de leur esprit te colle aux chaines de ta journée,
taff, prison, maison, le bruit, leurs cris,
acouphènes dévorants qui poussent encore par dessus la musique, ils rampent, sans yeux, à bosses,
baleines échouées dans les recoins sombres des murs de leurs esprits cahotiques, leurs mains comme des croches, et, leurs langues déroulées, lêchant le sol à la recherche de réel,
poussière, quotidien extatique, je peux pas c'est psychique, mon cul collé sur la banquette arrière de leur propre violence,
tous ces gamins amochés, devenus des adultes non consentants décrochés par leur propre mystère,
ils hurlent, dedans, devant, pendant, au réveil, au sommeil, en mangeant, ils hurlent, dans leurs yeux, dans leurs coups, les trous dans les murs comme autant de messages, les morceaux de leur peau, étalés sur mon visage,
je - ne comprends - pas -pas- pas- ce- que- tu- vous- me dites, dites - dites
mayday boum mayday boum
martiens bien terriens, cachés tous au fond, dans une aile insalubre,
enfermés, maintenus en vie hors de nos vues, sortis d'un ventre traumatisé, abandonnés à notre seule condition humaine, nos joies, nos peines,
leur chier, pisser, manger, dormir, hurler toujours, les angoisses sont des trous et des briques que l'on descelle,
le bruit des clefs qui tressautent au fond de ma poche, les clefs du dedans dehors, dehors dans ma tête quand je suis tout au fond dedans,
la blouse qu'on enlève, comme si on baissait les armes, j'ai soif de vie quand je sors de leur vie, chaque soir, dans le brouillard.
FEELING GOOOOOD !
mais siiii mais siiiii
Boum boum du moment, faut ça nan ?
http://www.youtube.com/watch?v=CmwRQqJsegw
Première chose qu'on apprend en soins palliatifs.
Aider les mourants à lâcher prise.
Faut que j'applique.
¤
Maintenant je me fais l'amour toute seule et c'est mieux, au moins si je m'endors après, je me fais pas la gueule.
Elle est là toute ma passion, là, regarde !
Imputrescible, déclarée, à la lumière des lampadaires, elle est restée collée aux pierres,
chaque doigt, l'empreinte, mon corps douloureux imprimé dans le mur, t'as des gens qui ne savent pas aimer,
ils ont un coeur qui leur sert à rien, qui bat pour faire mourir la machine, chaque jour un jour de plus, mais dès que ça s'emballe, et que ça decolle des rails, ils flippent, alors qu'au final, ptain c'est ça le sentiment de vie.
Louper les virages.
Cette cachette entre nous, un rendez vous obscur, un moment où je t'aimais encore, où je croyais à tout, et depuis je me promène seule, parceque y a des gens que tu apprends à aimer qui ne savent pas aimer.
Dans les bois, les ruelles, je mendie l'écuelle, ma gamelle,
ma sale gueule de coco haine fatiguée,
j'ai froid, j'ai faim, je manque de sommeil, les frissons m'ont quitté, les papillons sont calcinés dans ma bôite à muse migraineuse, et robotée,le hic,
c'est vide, plus d'efforts, mais pas de remord, rabotons, l'écorce du cervelet,
un souvenir, c'est un détail qui ne tue point mais rend plus fort,
juste oublier, ne pas se retourner, ne pas dépoussiérer les détails collés dans ma maison hantée, se dire que rien n'a existé puisque rien n'a vécu, formater , balayer.
le soleil n'est pas plus beau quand il se lève, et la brume me fait peur maintenant, parcequ'il me reste soixante ans d'Eos.
Mais ça va le faire, t'inquiète, je suis une grande fée.
Si on avait eu une fille, on l'aurait appelée Zoé.
Les miettes de mon organe aux quatre coins de l'hémisphère, j'ai la boule amère, le sexe en cendres, la folie dans mes espaces que la magie transcende, j'ai toqué au coup d'épée du mauvais prince, il s'agissait d' un crapaud boeuf, prompt à agir, fin à reculer, illusionniste de mes méandres...Pas magicien,
et c'est dommage, je me suis trompée sur son potentiel de lâcher prise.
Et, le temps d'un morceau, quand mon esprit s'égare encore , à lêcher la mauvaise porte, à s'enrouler sur ton corps en détail comme une chatte sur un autre, carressante de chaque pore, transpirant l'amour, l'amour et le désir, cela n'avait rien de commun, c'est un trésor perdu, pour lequel il n'y a pas de carte.
Je crois que je t'ai beaucoup aimé, le temps d'une histoire entre nous.
Mais je finis toujours par me laisser à aimer les gens qui ne savent pas aimer et je finis toujours par me lasser de m'être laissée aller à aimer les gens qui ne veulent pas aimer.
Ci git Loli twenty one (mars 2011/octobre 2012)
Le puits n'était pourtant pas bien profond, cette fois.