Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)

Dans tes bras, même les coupe-gorges ressemblent au Ritz.

Je marche dans nos pas, parceque je ne sais faire que ça.

 

Il y a la souffrance avortée d'un monde dans lequel tu n'existes plus, dans lequel tu ne fais plus partie de moi, dans lequel je suis seule comme avant et je voudrai parfois revenir dans nos pas.

Je crois que tu n'as pas compris.

Le sentiment d'aimer, c'est parfois plus que des mots qui vont et qui viennent, un soupir dans un cou au bon moment, une grande main sur la mienne, et tout un volcan de certitudes...

Et j'ai mal.

Comme si, en silence, tu avais quitté ma planète. Je suis seule sur ce banc, à attendre que les jours me lâchent.

Autour de moi, je n'entends plus les rires.

 Le soleil est un astre qui ne brille plus assez fort, tout semble tourner encore, mais pour qui ?

Je voudrais monter au point le plus haut et hurler, hurler à n'en plus finir comme une bête blessée qui s'éteint, je crève en silence, à la brûlure de ton absence.

 Je suis terrifiée.

Ecrit par giantjack, le Mardi 24 Avril 2012, 10:58 dans la rubrique Red Destrier.

Commentaires :

Art-Orange-2004
Art-Orange-2004
24-04-12 à 12:36

Ton écho n'est pas vain

Tu as raison de hurler tous ces mots déchirés qui résonnent en toi puisque l'expression est salvatrice et aide souvent, par petites touches de désespoir, à cristalliser de la vie pour demain, autrement certes. J'appellerais cela les brûlures de l'expérience humaine au fil de ces drôles de chemins à emprunter parfois.

Courage à toi et tes mots.