Le boum boum du moment :
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Version triiiii romantique mais faut du teng-pooow dans ma life, zarma.
Bon. Faisons le point. Dur.
Vendredaï et temps pourri, j'affronte le froid comme un jedï , retrolasers en action, golgo 13 interaction, j'ai quinze ans , c'est la musique qui goldo,
raque, t'as eu peur ?
Un peu de couleur de caisses dans tout ce gris,
Cherchant les ancolies au fond des bois nez à nez avec Mister Razorback, un monstre, une chimère, qui danse au bout des tôles, en renouflant sa cantate tombée de la nuit,
Pas très content de trouver un bolide de poulet au crépuscule, caché du vent de la pluie et ,ce sans scrupule,
L'alibi au son de mes tics tacs, c'est long, c'est long c'est long d'attendre, dans le noir, sans poésie folle au fond des neurones, sans cahier, sans crayons, j'attends voir venir la nuit, en dormant de rêves, tandis que plus belle soit la vie, d'ailleurs, putain,
Toi t'es déjà parti, je me sens comme une microsieste, un oiseau sur un briquet, ça y est, je me trouve parfois répugnante, alors qu'il fait si chaud chez moi aussi. Qu'est ce que je fous là dis moi.
Non c'est pas une excuse, de ramper sous ma peau.
Encore bercée par tes grands bras , j'y suis si bien, tellement bien, je me sens si petite, je me sens ta chtite, je me sens comme un bébé repu, nourri, aimant, une petite masse jalouse du temps qui si vite passe,
je t'ai tout pour moi quelques demi-heures, je comble l'espace, je m'étale sur ta peau de long en large, je m'imprègne, pour pénetrer ton pauvre petit coeur.
Mais ça marche pas. Bon après je relativise, profiter des bons moments c'est bien.
Bien...
Je me sens comme une putain du fond des bois.
Il n'y a pas d'explication à donner, à concevoir à cet attrait, et de toute ta hauteur d'homme, de toute ta présence, de ta largeur, de tes silences et surtout de cette façon que tu as de sourire par les yeux, par les mains, lorsque tu m'étreins, même si nos corps ont l'air d'être faits pour s'entendre, ça colle, boum boum,
il y a parfois cette voix qui résonne chez moi, elle a pas le droit, dans mes bois, cette voix, de pénétrer dans ma forêt,
c'est à moi, ce moment là, ce sont mes bois, le toi de moi, cette voix qui me rappelle que l'heure viendra, que tout ça c'est mon coma, un temps qui n'existe pas, un rêve qui aura forcément une fin, dans dix jours, dans un an, même peut être plus vite que ça, c'est douloureux, c'est déjà ouvert, je voulais pas, ce sera du bad, mon boy, et je veux pas être la responsable du suicide day.
C'est pas juste.
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