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C'te question de la mort qui tue la vie de la mort mortelle !
Je pense tellement de choses de toi.
Je n'ose même pas t'appeler mon coeur, moi. Non j'ose pas.
Même si j'en crève d'envie. Si si.
Pourquoi ?
grr, j'aime vraiment pas les pourquoi. Vraiment pas.
Ca t'amène toujours sur des sentiers improbables.
Parceque les mots ne sont pas palpables,
Et que cela ne sort jamais quand ça voudrait.
Alors tu liras tout cela sûrement quand je serais déjà partie, demain, après une journée, qui ne me laisse déjà pas un instant de répit. je voudrai dormir, moi !
Tu sais, je n'ai pas l'habitude.
Les gens me posent rarement des questions sur le genre de sentiments que je peux avoir dans la tête.
Et à force de me demander ce que tu penses de tout ça, Toi, j'en oublie de penser un peu à ce que j'en pense, Moi.
Je suis pas une grande causeuse, mais je suis une belle amoureuse, et ça je peux te le donner tout entier.
Prends le, garde le fort au fond de toi. Toujours.
Le reste si le reste quand on se connaitra mieux viendra après.
Je vais essayer. Et je développerai.
Faut que tu en fasses bon usage, de ce pass, parcequ'en t'ouvrant les vannes de ma conscience, je te donne la permission de me briser toute entière, si tu le veux.
Tu es le garçon déraison. Une sensation, une odeur, un prénom, mon émotion, ma putain d'emotion.
Unis par un contrat résiliable, par madame la pluie sous un temps exécrable,
mon illégitime, mon boy, mon tellement tendre, mon préféré,
je vais te confier un secret.
Puis me pendre.
Sinon je serai obligée de te tuer.
Parceque tu vas le répeter.
Si je te dis , si je m'étale,
je te jure qu'tu détales. Alors.
On se contentera du petit Bri-ef pour ce soir.
(parceque je n'aime pas non plus le mot bref, va savoir)
Au boulot, toutes les aubes, arrivait un jeune mâle , originaire de l’Aude,
la cervelle lente, à casser des briques,
malgré son sourire atypique.
Mais, il y a un mais kinder,
(bueno, parceque que tu le vaux bien)
je pourrais rester des heures,
à humer son sillage.
Celui-ci me transporte, dans tous ces paysages,
qui ont fait mon bonheur, entre toi + moi.
Il se contente juste,
lui,
ce petit oiseau sans cervelle... pour me rendre heureuse,
de porter ton parfum.
Celui du premier matin.
Tu vois .
Tu vois !
J’ai du mal. Mais j'ai TROP du mal . Avec toi.
Et ça c'est pas noté dans le contrat.
(A moins que ce soit la petite étoile toute en bas ?)
Le seule chose d'importante entre toi + moi, à ce jour,
et que tu dois savoir, (mon amour) (pour la rime ! chuuut.)
c'est que si je te dis que je ne veux pas m'attacher à toi,
c'est parceque j'ai bien trop peur de te perdre. Toi.
Commentaires :
Re:
Il faudra que tu fasses un procès au destin, Dr mamour.
Justement, on ne sait jamais ce que celui ci nous réserve. Non je ne me moque pas. ;)
D'ailleurs j'ai bientôt un contrat vers chez toi.